1. |
Cameroune
03:38
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Ils savaient, que tombe les mouches !
Ils pouvaient, faut croire les louches.
Une épave en sueur
Pour des éclaireurs.
Qui savait comment, pourquoi
Comme il ment, les coups bas
Ils voulaient, la viande est farouche.
Ils souhaitant, que tombe les mouches !
Alors il s’éclate
s’épate le spectacle
en douceur, en couleur
il pousse, il brime, il s’assis
C’est encore son humeur du soir,
Mais jamais il n’invoque le cauchemar
C’est encore son humeur du soir
Mais jamais il n’invoque l’odeur du noir
Voilà la Sabbat !
Le dernier vingt piasses
La douceur de l’horreur
Là, où le sombre s’éclaircie
C’est encore son humeur du soir
Mais jamais il n’invoque le cauchemar
C’est encore son humeur du soir
Mais jamais il n’invoque l’odeur du noir
‘’J’n’aime pas les paquebots, pris dans les citrouilles... So business is doing good’’
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2. |
La Sorcière
04:53
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C’est la porte,
Encore la sorcière
Qui viens ruiner la belle atmosphère
Son cœur de plastique
Ses grandes jambes Jamaïque
Il va falloir que je sors mon blues du noir
Faut qu’à s’en va, faut que le vent d’la toundra
Fasse un coup d’air,
pour qu’elle pacte ses affaires
La sorcière, le vibe ben noir
Elle occulte notre ombre
Pour en faire sa lumière
Elle mange ton cœur, elle mange…
Ton outil contre le noir
Elle entre dans ton monde
Déguisé en cadeau
Les grandes entre jambes
Les gros seins en bateau
Dans les ombres, dans ton dos
Les yeux manigancent un plan pour voler tes nuages
Elle te blast le plexus, avec tous ses astuces
Elle espère te rendre en homme idéal, elle avale
La sorcière, l’aura toute noir
Elle vole ton monde
Pour son propre univers
Elle mange ton cœur, elle mange…
Ton outil contre le noir
‘’Les filles à Paul, son su’l balcon… Du blé, du rhum, pis du savon’’
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3. |
Peter Spam
03:44
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C’est fucké mais j’aime le mal
Surtout les bains de sang…
S’pas parce que j’t’un anormal
C’est juste que j’aime ça !
C’est ‘’touché’’ mais j’veux qu’tu scram !
Qu’tu meure dans un champ
Que tu y reste pis que tu pourris la
J’te jure j’pas méchant !
Fait que ça d’l’air qu’ça va toute sauter
Moi j’pense pas, que j’vas m’en aller
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4. |
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Envoyez-moi à la station
Je ne peux plus de l’attente
Immédiatement…
Immédiatement !
Il faut que j’embarque dans un train
Je n’en peux plus des longues ondes
Immédiatement…
Immédiatement !
Oh ! L’amour qui reste enseveli dans le ciel, les orages
Oh ! Une lueur qui s’achète comme un simple mirage
Oh ! L’amour qui reste enseveli dans le ciel, les orages
Oh ! Un imbécile qui s’enfuit comme un pauvre animal…
‘’Take me for a ride, I don’t care if we ever come back We don’t belong, and we know it ‘’
Le sable lourd
Veux-tu vraiment briser mes mains ?
Avec le vent rouge qui frappe le ciel d’une nonchalance
L’appel.
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Rodney The Walrus Montreal, Québec
Venant des terres lointaine d'Acadie. Ils pensent avoir trouvé une façon.
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